Jane’s World Volume 6

C’est un peu intimidant dans une série webcomic de feuilleton à cette date tardive, surtout lorsque les premières pages montrent un réseau imbécile de plus de 40 caractères. J’ai trouvé, dans de tels cas, qu’il est préférable pour moi de ne pas tenir compte de ces présentations et de la page «Histoire jusqu’à présent» (bien que j’aimerais lire la partie où Jane est apparemment allé à une convention Furries) et à sauter le mieux dans le Comic, ramasser ce que je peux.

Il s’avère que dans ce cas, c’est la meilleure stratégie, car la situation dans le volume mondial de Jane 6 est familière et compréhensible. La mère de Jane rencontre sa nouvelle petite amie, seule mère ne le sait pas, car Jane gardait des secrets. Non seulement Mère n’est pas à jour sur la vie amoureuse de Jane, mais Mère ne sait pas que Jane soit une lesbienne, donc Jane et le colocataire Ethan prétendent être un couple. Les malentendus et les dissimulations s’ensuivent… des deux côtés.

J’aime vraiment le style ouvert et confortable de l’art de Paige Braddock. Il s’adapterait facilement à une page de bandes dessinées à l’ancienne (avant de commencer à se écraser), comme une lesbienne pour le meilleur ou pour le pire. Dans certains cas, ses conceptions de personnages me rappellent celles de Jules Feiffer, de tous les membres longs et des lignes lâches.

Dans la situation de Jane, il y a des morceaux de drames de divers autres personnages. Certains étaient beaucoup plus divertissants (et compréhensibles) que d’autres, mais cette technique montre certainement à quel point la distribution et leurs aventures sont diverses. L’histoire de Chelle, en particulier, est comme un drame d’action impliquant des rednecks vengeurs de ses jours de police, et une grande partie est attirée un style différent et beaucoup plus complet à égaler.

Plus tard, Jane devient plus conviviale avec un vieil ami. J’adore les relations comme ça, parce que je pense qu’ils sont une bonne idée, lorsque les deux personnes se connaissent déjà. Malheureusement, c’est compliqué par elle qui a déjà une petite amie. Cue le feuilleton! et le cliffhanger, les deux femmes se présentant pour le dîner.

Le casting semble réaliste aussi, comme si je pouvais connaître ces gens. Je peux voir pourquoi cette série va toujours fort. Ça me fait rire, ça me fait haleter, ça me fait secouer la tête avec une sympathie… c’est une très bonne sitcom, plus longtemps. (Une copie complémentaire pour cette revue a été offerte par l’éditeur.)

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